La mante diable peut nager à grande vitesse et sauter au-dessus de la surface. Elle se nourrit principalement de petits crustacés planctoniques (zooplancton) mais aussi de petits crustacés pélagiques et de poissons à nageoires rayonnées.
Raies
Fiche d'identité
Annexe II
Océan Atlantique ouest.
Espèce vivant en haute mer avec un mode de vie tantôt pélagique, tantôt côtier selon les zones.
Jeune, la mante diable mesure en moyenne 55 cm. Une fois adulte, elle peut atteindre 1,20 m au maximum.
Elle se nourrit principalement de petits crustacés mais aussi de petits poissons à nageoires rayonnées.
La mante diable peut nager à grande vitesse et sauter au-dessus de la surface. Elle se nourrit principalement de petits crustacés planctoniques (zooplancton) mais aussi de petits crustacés pélagiques et de poissons à nageoires rayonnées.
On la trouve près des côtes d’Amérique du Sud (Brésil, Argentine, Pérou et Chili), dans le Golfe du Mexique et près des côtes Est des Etats-Unis (New Jersey, Caroline du Nord et Floride)
La mante diable a un mode de vie tantôt pélagique, tantôt côtier selon les zones et les saisons. On peut la voir nager seule ou en petit groupe d’une dizaine d’individus.
La mante diable Mobula hypostoma possède deux nageoires céphaliques de chaque côté de sa bouche qui lui servent à diriger le plancton vers sa bouche. Elle présente également une queue longue, sans épine. Sa face dorsale est noire et sa face ventrale est blanche.
Certains individus présentent une bande gris foncé sur leur face dorsale, derrière les yeux. Jeune, la mante diable mesure en moyenne 55 cm. Une fois adulte, elle peut atteindre 1,20 m au maximum.
La mante diable est une espèce vivipare aplacentaire c’est-à-dire que les embryons ne sont pas reliés au sang de leur mère par un placenta. Une femelle donne naissance à un seul petit par portée.
De longues périodes de repos peuvent expliquer les cycles de reproduction prolongés chez les espèces mobulidés.
Cette raie est souvent capturée accidentellement. Son faible taux de reproduction et sa maturité sexuelle tardive rendent cette espèce vulnérable. Une meilleure étude des pêches est nécessaire pour protéger les populations de mantes diables. Le commerce de cette espèce est réglementé (CITES).
VOYAGE EN HAUTE MER
Le Mag Océan
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